Jeanne, séduisante veuve, annonce à Charles son remariage et le met à la porte de chez elle, avec son chien. Elle fut sa maîtresse à la mort de son mari, meilleur ami de Charles, pendant leurs années de marine. Sans autre ressource qu’une maigre pension, c’est la rue qui attend Charles et son chien. Aucune main ne se tend vers lui et sa dignité lui interdit de tendre la sienne. Et lorsqu’ils se retrouvent seuls sur cette voie de chemin de fer le fracas du train qui fonce, annonce-t-il la fin ou le commencement d’une autre vie ?